POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

POUR AIDER UNE PERSONNE

POUR TROUVER UN CHAÎNE MANQUANTE

UN RÉSEAU A TRAVERS LE MONDE

UN LIEU DE COMMUNICATIONS

                                                          ENFIN UN SITE CONVIVIAL DE

                                                      GENEALOGIE

                                                         OUVERT A TOUS

Elle est également une occasion de convivialité et de solidarité, puisque les chercheurs, groupés de plus en plus nombreux dans des cercles ou des associations, voire sur Internet, se livrent à des échanges sur leurs travaux (par des questions et des réponses), ce qui les rapproche les uns des autres.

SUITE A MES RECHERCHES JE CHERCHE DONC

  ALLIOT  Parent   avec Capelle Joséphine-  à Bohain

  HERMANT   à  Douai  - DAUCHER (z) Douai !! -ou environs

  DECAMPS jean   et  VILLAIN  à  Harly 

  QUERTELET  à    Ly Fontaine  - et Neuville saint Amand

PARENT  Rosalie  Bohain -ou environs

COURTOIS            DELOFFRE Apolline  - Bohain et environs

–Une recherche par un ami d’internet (indiquerait , bien une branche Quertelet à  Ly fontaine  )-recherches en cours ? Peut être un Frére - MERCI   P. KESSLER

                   Ma famille  -P KESSLER

En quelques années, la généalogie a fait la différence. Des livres ont été publiés, des revues sont nées, des livres ont obtenu de grands succès publics - car ils racontent nos aïeux, grands ou petits. De cet ensemble est sortie une généalogie nouvelle dont le succès entraîne des bouleversements, sinon des résistances. Vous êtes prêt ? Suivez le guide

Les qualités du généalogiste

Qu'est-ce qu'une enquête ? « Rien d'autre, par sa méthode, qu'une enquête policière : partir d'éléments connus, parfois disparates, pour découvrir, non le coupable, mais tel ou tel aïeul descendant d'un être humain

Aussi, l'enquête nécessite-t-elle des qualités : méthode, patience, persévérance, logique, un peu de perspicacité et d'esprit de déduction, ainsi que de l'honnêteté intellectuelle. Ces qualités rappellent curieusement celles du fameux commissaire Maigret, que son créateur, George Simenon, qualifiait de «raccommodeur de destinées »

Fin limier de l'histoire familiale, vous devrez faire des hypothèses, les vérifier, en tirer les conséquences - c'est-à-dire analyser les bonnes surprises apportées par un acte enfin retrouvé , pour, à nouveau, échafauder des possibilités historiques qui vous mèneront sur le chemin de vos ancêtres.

Ce sera parfois difficile, mais les meilleurs souvenirs s'attacheront à ces ancêtres qui, en quelque sorte, auront su résister pour préserver leur histoire. Et, s'il faut produire quelques efforts, il est bon de se dire que le sportif, le peintre, l'écrivain, le savant, le musicien doivent toujours passer par une période d'apprentissage avant d'obtenir un résultat.

Dans peu de temps, vous aussi serez atteint de la « généalogite » aîgue  ou  comme en  informatique vous avez attrapé le virus ,ou comme Astérix vous êtes tombé dans la potion ! ! !

Comme on vit rarement dans le terroir de ses ancêtres, le mieux est de le découvrir ; pendant les vacances, par exemple, où vous ferez de la  généalogie .

Aller sur place retrouver vos racines est nécessaire?et c'est le moyen d'avoir des autres pistes.

Les qualités requises pour établir une généalogie sont, on l'a vu, patience et persévérance. C'est dire qu' après une première période pendant laquelle les résultats viendront nombreux et rapides une autre suivra, peut-être plus délicate ou plus lente.

C'est à ce moment que le caractère individuel jouera. Le passionné çomprendra qu il lui faut bien analyser certains actes pour retrouver le maillon manquant ; lorsqu'il y sera parvenu~ la découverte le comblera d'aise... et relancera la recherche. Quel historien n' a pas connu de lenteurs dans une oeuvre, suivies de coups de coeur où le travail avançait d'une manière irrésistible?

On l'a compris, la durée de la recherche sera variable (aujourd’hui il fait bon ,il faut profiter du jardin ,demain on verra) , mais il est important étant de travailler régulièrement et de bien suivre son dossier.

Jusqu'où peut-on remonter?

Le point jusqu'où remonter sera fonction du milieu social de I' ancêtre recherché, de l'état de conservation des archives de la région considérée et de l’importance du travail accompli

Mais on peut écarter tout de suite cette marque fréquente: « Il est certainement difficile d'aller au-delà de la Révolution. »

Ce jugement péremptoire est faux. En effet, l'expérience montre que la « barre » de la Révolution est plus psychologique que réelle. Les documents détruits à cette période ne sont pas essentiellement les registres paroissiaux ; et, lorsque certaines églises ont brûlé (ou disparu) il faut savoir qu'un double existait déjà et que, bien souvent, l'une des deux séries a été conservée.

Faire-part,  lettres,  testaments - et l'énumération pourrait ressembler à un inventaire à la Prévert -, bref, quelles que soient les archives que vous possédiez ou que vous avez rassemblées en commençant la recherche généalogique, il vous faudra de la méthode pour classer et conserver, afin de compulser ultérieurement.

L'ensemble sera riche, mais disparate et difficile à manipuler. Je vous conseille donc deux ensembles de classement.

S'agissant des documents relatifs à la filiation - actes de naissance, baptêmes, mariage, décès, sépulture -, numérotez chaque acte dans l'ordre de la classification développée plus loin (ordre numérique: ancêtre nos 1, nos 2, nos 3, etc.) en y collant une pastille adhésive portant le numéro en question.

Glissez ensuite les documents numérotés dans un classeur à feuilles plastiques transparentes en tenant compte de la progression numérique : naissance nos1, naissance nos 2, mariage nos i et nos 2, décès nos 1, décès nos 2, naissance nos 3, naissance nos 4, mariage nos 3 et nos 4, décès nos 3, décès nos 4, et ainsi de suite. Ce classeur constituera l'ordre généalogique de première consultation. Vous pourrez laisser une page blanche pour l'acte non encore trouvé : lorsque la recherche l'apportera, vous le glisserez à la page prévue d'avance.

Tous les autres documents seront glissés dans un dossier (ou une pochette-archive) ouvert pour chaque ancêtre, également numéroté, comme les documents du classeur à feuilles plastiques. Ainsi, toutes vos archives seront impeccablement classées et consultables à loisir: de là sortira la véritable histoire de vos ancêtres.

Bien entendu, pour faciliter la consultation, il conviendra d'établir deux index:

- l'un, numérique, comportant en regard des numéros le nom et le prénom de l'ancêtre: c'est la liste de vos ancêtres;

- l'autre, alphabétique, comportant les numéros de chaque ancêtre ; vous pourrez, ici, utiliser des feuilles de séparation avec répertoire alphabétique ; le cas échéant, un calepin à répertoire ou une cassette informatique pourra tenir lieu de liste.

L'intérêt ultérieur de ce deuxième index sera de pouvoir, à la bibliothèque, aux archives, en mairie, vérifier la présence d'un nom dans votre généalogie, réflexe utile lorsqu'un nom apparaîtra sur la page d'un registre ou qu'un doute effleurera votre esprit.

  SUITE PAGE 2