-Origine
Au XIIème siècle, les templiers et les cathares connaissent le secret de Jésus en ayant accès à des documents secrets.
{Livre, Montagne sacrée (La), Jane Roberts, Ed. Pygmalion}

Cathare vient du grec qui signifie "Pur". Purs, les "Parfaits".
Selon les théologiens cathares, Jésus christ n'avait pas pris en fait un corps physique : il n'était venu qu'en apparence (c'est la doctrine appelée docétisme par les théologiens catholiques). Les cathares refusaient donc de vénérer le crucifix.

{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 44, 11/1983, Les Cathares, Serge Hutin, Novembre 1983}

Les cathares étaient appelés les "Parfaits" et les "Parfaites". Cathares, est un nom grec signifiant "les Purs".
Ils ont trois degrés d'initiation : sympathisant, croyant, parfait.
Le catharisme dérive du manichéisme.
Lorsque les manichéens apparurent de part et d'autre de la Loire (vers le 12è ou 13è siècle), ils reçurent le nom de cathares.
D'après les dépositions, des cathares (qui auraient été au nombre de 4) ont fuit le château de Montségur avant la reddition des autres pour aller chercher le trésor cathare caché dans la forêt.
La thèse selon laquelle il aurait existé une complicité plus ou moins secrète entre Cathares et Templiers est diamétralement opposée à la réalité historique. La théorie qui jette un pont entre Cathares et Rose-Croix mérite d'être approfondie.

{Livre, Secret des Cathares (Le), Gérard de Sède, Ed. J'Ai Lu}

Les Parfaits cathares vivaient dans l'humilité et le service de leurs prochains et ils prétendaient suivre les vrais enseignements de Jésus. Pour eux aussi, Jésus avait été marié à Marie Madeleine et avait engendré une famille.
{Livre, Rex Deus, Marilyn Hopkins, Graham Simmans,Tim Wallace Murphy, Ed. du Rocher}

Dés le Xè siècle, un courant de pensée, qualifié d'hérésie par l'Eglise romaine, se répand à travers l'Europe, venant des Balkans et se développe, plus particulièrement, en Champagne, en Flandres, à Cologne et dans les terres occitanes du midi de la France. Résurgences du manichéisme qui avait connu une grande importance, tant en Orient qu'en Occident, dés le IIIè siècle, le Catharisme prend une très grande extension et il est au XIIè et XIIIè siècle le représentant d'une conception que l'Eglise souhaitait étouffer.
L'entrée de l'initié cathare dans une vie nouvelle était marquée par une cérémonie solennelle non secrète (les croyants pouvaient y assister) appelée le "Consolament".
D'après l'historien Schmidt elle comportait trois points forts :
- imposition des mains : symbole de l'initiation spirituelle à l'Esprit
- fraction du pain : symbole de la Communion avec les forces du Christ
- remise du vêtement donné au récipiendaire à qui on donnait aussi l'oraison, c'est à dire le Pater.
Pour les Cathares, le Christ est l'entité cosmique, le Christ solaire et non point le Christ historique.
L'incarnation du Christ dans le corps particulièrement pur de l'homme Jésus, ainsi que la passion et la crucifixion étaient admises par les Cathares comme étant nécessaires pour que soit possible la régénération de la Terre grâce à l'apport des forces christiques.

{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 109, 10/1989, Aspect intérieur du catharisme, Lucienne Julien}

Le mot Catharisme est dérivé du mot grec Kataros qui signifie "pur".
Les cathares se considéraient comme frères, pratiquaient la charité et cherchaient ardemment la vérité, la simplicité et la vie pure.
Leur doctrine argumentait que le diable est une créature de Dieu qui s'est révoltée, les âmes sont libres du bien et du mal. La Terre, le monde matériel et le corps des humains ont été créés par l'ange déchu qui s'efforce d'attirer par ruse les âmes du ciel qu'il emprisonne dans une enveloppe charnelle, excepté le Christ qui n'a revêtu qu'un corps d'apparence, qui lui a été donné par un ange et la Vierge Marie, qui a pris les traits d'une femme juive.
En conséquence, la croix ne doit pas être vénérée et le comportement de l'Eglise chrétienne désoeuvrée qui ne se soucie que du temporel, n'apporte point de salut aux hommes.

{Magazine, Fascicule traitant du mazdéisme, zoroastrisme, manichéisme}


-Fin du catharisme
Les cathares ont été massacrés parce qu'ils marchaient avec l'Evangile de Jean sous le bras et guérissaient les gens. Ils ont été massacrés parce qu'ils travaillaient de tout leur être à s'élever spirituellement.
{Livre, Partenaire avec le divin, Kryeon, Ed. Ariane}

XIIIéme siècle : la croisade des Albigeois réprime le catharisme.
{Livre, Montagne sacrée (La), Jane Roberts, Ed. Pygmalion}

"L'ancêtre spirituel de la religion cathare n'est autre que la première "Eglise" de Jérusalem, dirigée par Jacques le Juste, le frère de Jésus."
...
Les Templiers et les Hospitaliers ne prirent quasiment pas part à la guerre contre les cathares.
"Le noyau des Templiers était issu des familles du Rex Deus, comme une bonne partie de la noblesse languedocienne qui, précisément avait fait don de ces propriétés aux deux ordres. Nous avons montré que nombre de ces familles, qui protégèrent l'Eglise cathare, lui accordèrent des terres, voire rejoignirent ses rangs, appartenaient au Rex Deus. On peut donc comprendre aisément pourquoi ces deux ordres refusèrent de se joindre à la croisade contre les Cathares."
Les Templiers aidèrent les chevaliers qui défendaient activement les Cathares contre les croisés. Les noms des principaux Templiers de l'époque et ceux des cathares recensés par l'Inquisition comportent des similitudes. Des Templiers, non seulement donnaient refuge aux Cathares en fuite, et leur permirent d'être inhumés sur des terres consacrées.

{Livre, Rex Deus, Marilyn Hopkins, Graham Simmans,Tim Wallace Murphy, Ed. du Rocher}

Le 16 mars 1244, à Montségur, 200 cathares, se tenant par la main et chantant des hymnes, montèrent de leur plein gré sur le bûcher.
Le secret des cathares était d'ordre ésotérique. C'est faute d'avoir pu leur arracher ce secret qui leur assurait un rayonnement chaque jour plus grand que l'Eglise de Rome, aidée par un aventurier, puis par le roi de France en personne, s'acharna à les détruire et à détruire la civilisation raffinée qui avait adopté leur enseignement.

{Livre, Secret des Cathares (Le), Gérard de Sède, Ed. J'Ai Lu}

Le Masque de Fer était le frère jumeau de Louis XIV. C'est lui qui devait régner sur le royaume, puisque, né après Louis XIV, et d'après la Constitution, il devait légalement être considéré comme l'ainé.
Plusieurs heures après la naissance de Louis XIV et sa présentation au peuple, la reine mit au monde un frère jumeau. "Normalement, on aurait dû déclarer les premières proclamations nulles et non avenues, et présenter alors le vrai roi de France, c'est à dire le second enfant, légalement l'aîné."
Celui-ci fut caché et élevé discrètement à la campagne.
A l'approche de sa vingtième année, il eut la révélation du secret de sa naissance et vint à Versailles pour y réclamer sa place légitime.

{Livre, Gouvernants invisibles et sociétés secrètes, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}

"L'élément majeur qui conditionne l'histoire plus que troubante du Masque de Fer se situe lors d'une bataille qui opposait le Grand Dessein [Cf Sociétés Secrètes - Rose Croix] à Don Juan d'Autriche, le 12 juin 1658. Ce jour là, Dunkerque tombait assiégée sur terre par l'armée française et sur mer par la flotte anglaise de l'amiral Blake. Six mille soldats puritains vinrent même renforcer l'armée de Turenne.
Louis XIV, qui assistait au siège, tomba malade dés le lendemain. Pris d'une forte fièvre, il s'alitait à Calais. Le 29 juin, il était mourant... Les derniers sacrements lui furent administrés, et les gens de sa suite le délaissèrent. Pendant que dans tout le royaume de France, on disait des prières pour son rétablissement, le roi, drogué, fut enlevé !"
Le masque de Fer était en réalité le premier Louis XIV, kidnappé à Dunkerque.
"Son frère, préparé en Angleterre pour accomplir une importante mission politique, avait été instruit par les supérieurs inconnus qui manipulaient le Grand Dessein. C'est lui qui règna ensuite en maître absolu sur la France."

{Livre, Comprendre les sociétés secrètes, Run Futthark, Ed. de Vecchi}

La révolution française (1789, 1792)

Les Illuminatis (cf le gouvernement mondial) ont programmé la Révolution Française de 1789 pour affaiblir la France.
{Dossier, Gouvernement mondial de l'Antéchrist (Le), Serge Monast, Ed. Presse Libre Nord Américaine}

Il faut distinguer non pas une Révolution française mais deux bien distinctes : Juillet 1789 (ne cherchèrent pas à renverser Louis XVI) et Août et Septembre 1792.
En 1789, il n'y a pas eu de complot maçonnique. Mais en revanche un vent de réformes humanistes et philosophiques (au sens du XVIIIè siècle du terme) largement représentatif des convictions idéologiques alors dominantes dans la plupart des loges françaises.
Il semble bel et bien prouvé que les hommes du Duc d'Orléans montèrent l'insurrection du 14 juillet, aboutissant à la prise de la Bastille.
Le Duc d'Orléans était le Grand Maître de la plus importante, numériquement parlant, des puissances maçonniques françaises : le Grand Orient. Il rêvait de remplacer sur le trône de France son cousin Louis XVI.
Concernant 1792, "l'étude vraiment objective des faits nous montrerait, n'en déplaise à l'opinion de la majorité des historiens officiels, que cette Commune insurrectionnelle de 1792 ne fut absolument pas création improvisée."
Le 9 août 1792 (la veille de la prise des Tuileries), le docteur SAIFFERT écrira noir sur blanc dans ses mémoires, après avoir participé à une réunion de la Commune insurrectionnelle : "J'ai su (...) que demain doit sonner le glas de la monarchie".
Les massacreurs (ce n'était pas toute la foule, mais de petits noyaux d'activistes) avaient été méthodiquement recrutés dans la lie de la population. C'est la société secrète des Illuminés de Bavière qui est à l'origine de cette révolution.

{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 104, 04/1989, La Franc Maçonnerie et la Révolution Française, Serge Hutin}

Il existe une thèse selon laquelle la Révolution française a pu vouloir "venger" le Temple et Jacques de Molay en détruisant le pouvoir temporel de la papauté et l'autorité royale, en faisant emprisonner, avant de le condamner à mort, le dernier des Capétiens dans la tour même du Temple qu'avait anéanti son ancêtre Philippe le Bel.
Après qu'il eut été congédié, le chancelier Maupéou confia, en parlant de Louis XVI : "Il est foutu".
Turgot, sur le point de tomber en disgrâce, a écrit à Louis XVI : "Sire, un roi d'Angleterre a été conduit à l'échafaud par sa faiblesse".
Louis Claude de saint Martin écrivait dans sa "lettre sur la Révolution" qu'il avait fallu "nettoyer l'aire avant d'y apporter le bon grain."
Quatorze années avant 1789, l'abbé de Beauregard prêche du haut de la chaire de Notre Dame : "Oui, Seigneur, vos temples seront détruits, vos fêtes abolies, votre nom blasphémé, votre culte proscrit."
Jacques Cazotte (1720-1792) prophétisa le déchaînement révolutionnaire au cours d'une soirée mondaine au début de 1788.
"Joseph Balsamo", de Dumas, en 1775, parle d'une guillotine, instrument de supplice qui, à cette époque, n'avait pas encore été inventé.
Les archives odiniques de Jersey rapportent que Catherine Théot, nécromancienne, fixa du doigt Marie Antoinette et lui prédit sa mort prochaine sur un échafaud.
"En recherchant les causes occultes de la révolution, il serait facile de penser que c'est la Franc-Maçonnerie qui a mis le feu aux poudres dans la France de 1789."
"Il faut pourtant supposer les influences d'un pouvoir plus fort que celui de la Franc Maçonnerie, supérieures ou parallèles, et faire intervenir les très souterraines activités des Illuminés."
"Nous avons la preuve que divers pays étrangers, l'Autriche, la Prusse, l'Angleterre, payèrent des agents secrets et même des agitateurs."
Des témoignages dignes de foi prouvent le rôle actif que Saint Germain joua tout de suite avant le déclenchement de la révolution française. Il s'efforça même, hélas en vain, d'avertir Marie Antoinette de la formidable machination contre la monarchie dont elle ne soupçonnait pas l'existence.
Il lui dit : "Le parti encyclopédiste veut le pouvoir, il ne l'obtiendra que par l'abaissement total du clergé et, pour parvenir à ce résultat, il bouleversera la monarchie. Ce parti, qui cherche un chef parmi les membres de la famille royale, a jeté les yeux sur le duc de Chartres; ce prince servira d'instruments à des hommes qui le sacrifieront lorsqu'il aura cessé de leur être utile, on lui proposera la couronne de France et l'échafaud lui tiendra lieu de trône.
- De sorte, interrompit la reine avec impatience, qu'il ne restera que la royauté.
- Pas même la royauté... Mais une république avide dont le sceptre sera la hache du bourreau."
Deux des chefs secrets de l'Ordre des Illuminés emmenèrent Cagliostro dans une petite crypte. On lui lut un manuscrit après la formule "Nous, Grand Maîtres des Templiers", un terrible serment qu'il dut répéter. Ce serment jurait la suppression violente de tous les despotes et la vengeance du Temple martyr. Venait ensuite une série de douze noms -et celui de Cagliostro était le premier- les noms des personnages très soigneusement choisis par les chefs secrets des Illuminés pour réaliser le Grand Dessein révolutionnaire. Le plan de cette vaste conjuration prévoyait de s'attaquer d'abord à la monarchie française, puis ensuite aux divers Etats italiens, et devait se couronner par la destruction, à Rome, du pouvoir temporel de la papauté. Cagliostro avoue avoir reçu six cents louis d'or pour mettre en route le travail révolutionnaire en France. Il révèle que les Illuminés tout à fait conscients de la nécessité impérative d'avoir une solide infrastructure financière secrète, avaient réuni d'énormes fonds clandestins et les avaient discrètement placés dans des banques d'Amsterdam, de Rotterdam, de Gènes et de Venise.
Cagliostro avoue aussi l'existence dans toute l'Europe d'un réseau très serré d'observateurs, réseau qui possédait même des espions très bien placés dans toutes les cours.

{Livre, Gouvernants invisibles et sociétés secrètes, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}

Cagliostro n'est nullement sorti de l'imagination d'Alexandre Dumas (dans son livre "Joseph Balsamo"). Son existence historique ne fait aucun doute; qui plus est, ce ne fut point du tout le charlatan de haut vol auquel certains historiens l'assimilent encore. Rappelons sa carrière maçonnique, prestigieuse avec la formation de son propre système de hauts grades : le RITE EGYPTIEN. Mozart, comme son librettiste, Schikaneder s'inspireront du rite Egyptien de Cagliostro.
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 104, 04/1989, La Franc Maçonnerie et la Révolution Française, Serge Hutin}

En novembre 1789, Louis XVI charge le capitaine Quemin, commandant le Brick Télémaque, de faire descendre la Seine à une cargaison comportant 2,5 millions de pièces d'or, toute l'orfèvrerie des abbayes normandes de Saint Georges et de Jumiège, de nombreuses oeuvres d'art, des reliques, des joyaux inestimables.
Le 3 janvier, devant Quillebeuf, le Télémaque sombre. Toutes les fouilles du siècle dernier et de nos jours, après avoir remontée l'épave à la surface, sont restées vaines. L'épave était vide. Tout laisse à croire que le naufrage a été manigancé à l'avance mais qu'il ne contenait aucun trésor lors de son naufrage. Que devinrent les richesses ? C'est l'un des secrets d'état du XVIIIè siècle.
Après les journées d'octobre 1789, un certain nombre des joyaux de la couronne avaient été transférés à Paris au grand garde-meuble royal. Eux aussi disparurent sans que, cette fois, le roi y soit pour quelque chose. En 1792, ils furent subtilisés avec une facilité étonnante. Selon toute vraisemblance, le ou les voleurs purent opérer à loisir.

{Livre, Gouvernants invisibles et sociétés secrètes, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}

Plusieurs allemands se trouvaient parmi les révolutionnaires extrémistes de 1792 et des années suivantes. Ne doit on pas y voir des envoyés directs de Weishaupt ?
Le peuple de Paris ne fut pour rien dans les massacres de septembre 1792. Ils furent l'oeuvre de petites équipes de tueurs méthodiquement organisés, recrutées dans la lie de la population, et payées selon le rendement si l'on ose dire, de leur sinistre besogne.

{Livre, Gouvernants invisibles et sociétés secrètes, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}

Les massacres du 1, 2 et 3 septembre 1792 des conspirateurs royalistes n'ont pas été d'effet d'une explosion de colère du peuple de Paris. Tous les témoignages attestent que, durant ces 3 journées, la population parisienne demeura passive dans sa majorité. Ceux qui se sont révoltés avaient été spécialement recrutés parmi la lie de la société (des brigands et criminels ont même été libérés dans ce but).
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 21, 09/1981}

La victoire (1792) de Valmy ne fut qu'une escarmouche sans importance réelle où l'on se contenta d'échanger quelques salves. Le duc de Brunswick sonna la retraite sans que ses troupes aient vraiment engagé de combat, sans non plus que les troupes françaises aient fait mine de les attaquer. Or, on verra le noble duc de Brunswick, de retour chez lui après Valmy, rembourser d'un coup toutes ses dettes, qui étaient énormes. D'où lui venait donc cette si soudaine prospérité financière ? on ne peut s'empêcher de voir entre elle et sa défaite de Valmy une relation de cause à effet.
{Livre, Gouvernants invisibles et sociétés secrètes, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}

"Si Weishaupt en 1784 se trouvait "brulé" comme on dit en jargon des services de renseignements, et donc forcé à s'effacer de la scène, le travail souterrain qui lui tenait à coeur se trouvait repris par d'autres. Et il serait facile de retrouver les Illuminés de Bavière derrière la Révolution Française, plus exactement derrière la radicalisation soudaine de celle-ci lors de l'été 1792."
{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 51, 05/1984}

LOUIS XVII

Von Rochow, ministre de l'Intérieur du roi de Prusse a déclaré :
"Je suis sûr que Louis XVII a survécu, mais si cela se savait, ce serait le déshonneur de toutes les monarchies européennes..."
Les documents en possession de l'abbé Saunière pourraient prouver la survivance de Louis XVII.

{Livre, Rennes Le Château, Gérard de Sède, Ed. Robert Laffont}

La fameuse énigme de Louis XVII constitue un secret d'Etat de l'époque révolutionnaire. De nombreux indices dans l'affaire Naundorff laissent entrevoir que l'identification était réellement vraie.
{Livre, Gouvernants invisibles et sociétés secrètes, Serge Hutin, Ed. J'Ai Lu}

"Plutôt qu'à la négociation d'un hypothétique trésor, le curé de Rennes le Château fut sans doute mêlé à la négociation de documents pouvant intéresser à la fois les Habsbourg et le Vatican, ce qui explique la présence insolite de l'archiduc sous son toit."
Si Saunière était en possession de documents prouvant de façon irréfutable que Naundorff était bien Louis XVII, il est évident qu'il pouvait en tirer une fortune, soit en les vendant, soit en se faisant payer son silence, selon la position des hauts personnages intéressés par cette énorme affaire."

{Magazine, Monde Inconnu (Le), No 98, 10/1988, Rennes Le Chateau, Gérard de Sède}

http://www.infomysteres.com/histoire/histoire10.htm